Krusteam
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 cinéma et critiques

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Anarchie
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Avalonie
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Avalonie
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MessageSujet: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyLun 1 Mai - 13:56

Alors, un nouveau topic car Clums m'a fait remarquer que "ça manquait d'animation". Il est vrai que ces derniers temps je n'ai pas beaucoup fréquenté le forum, travail oblige...

Aller! Je vais me rattraper avec ce nouveau sujet.

Comme vous l'aurez comprit il s'agit de parler des films que l'on a vu (ou non) qui vous ont inspiré ou pas... Défoulez-vous.

Pour ma part je vais commencer par vous parler du dernier film que je suis allée voir (qui remonte à hier soir) avec Jug, Pat et Clums. Il s'agit de
"Silent Hill" de Christophe Gans (Crying Freeman, Le Pact des Loups).


Alors, c'est une fois de plus l'un de ces films qui est mélange de fantome et de mort-vivant cherchant à se venger, mais pour une fois il est innovant, le scénario est bien ficelé, un jeu d'acteur est plus que crédible, notamment celui des jeunes actrices Tanya Allen (Alissa) et Jodelle Ferland (Sharon).

L'histoire est simple: Une petite fille somnambule à des visions d'une ville fantome nommée Silent Hill, sa mère adoptive décide de l'emmener dans cet endroit où la gamine a été abandonnée à la naissance.

Un peu bateau à la base comme trame dramatique, mais, elle n'est pas aussi simple qu'elle y parait, beaucoup de rebondissements et de suspense, quelques passages gores mais rien d'insistant. Les effets spéciaux sont bien manipulés et rendent ni le film ridicule ni les "monstres".

Pour ceux qui n'aiment pas les films de ce genre je vous conseille tout de même cette réalisation qui vous renouera peut-être avec le genre, à cheval entre science-fiction et thriller.

Un film assez moraliste ( comme dirait Jug) en ce qui concerne les extrémistes religieux et la vengeance, et qui fait tout de même cogiter à la fin sur ce qui reste inexpliqué.


Dernière édition par le Lun 1 Mai - 14:04, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyLun 1 Mai - 14:00

ben je l' ai pas encore vu mais j' éspere que pour une fois ils ont été capable d' addapté un jeu vidéo correctement parceque leur adaptation pourries ça commence a soulé
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyLun 1 Mai - 14:07


Je ne connais pas le jeux-vidéo, mais, Jug qui le connait m'a dit qu'il était vraiment fidèle au jeu.
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyLun 1 Mai - 15:34

moi j di q y a eu Mortal Comba ossi qi étai proche du jeu vidéo .
ouai . j trouv de le jeu et le film son ossi pouri l un qe l otre . lol .
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyLun 1 Mai - 15:44

C' est pas vrai le jeu est mieu!

dans le film ya meme pas les fatality, animality et mes préféré les brutality
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krusty
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyMar 2 Mai - 10:49

j'ai une petite question pour Jug : il est fidèle à quel Silent Hill ?

Visiblement : ça doit pas être celui sur Playstation ( le premier du nom) ...

j'ai pas joué aux autres donc .... j'aimerai savoir ...
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyMer 3 Mai - 16:37

lol, bon le topic n'était pas vraiment "film et jeux-vidéos" mais bon... en éspérant que d'autres auront envies de poster des critiques de films qu'ils ont vu. Confused
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lord Alton
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyMer 3 Mai - 18:07

sur les bons conseils d'Avalonie je suis alle a Silent Hill. je dois dire que le film est pas mal, tant les monstres que l'histoire. c'estr assez bien fait. le debut est un peu long mais quand enfin ca commence on ne s'ennuye pas. Le seul hic est quand l'actrice principale se trouve dans le couloir du surgery room en face des infirmieres, j'ai bien cru qu'elles allaient nous refaire Bad de Michael Jackson et le rire a bien failli jaillir.

Rest In Peace

afro
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyMer 3 Mai - 18:42

ah ah ah J'ai égallement repéré la référence à Mickael Jackson, mais j'ai plutot opté pour le clip de Thriller lorsque les morts-vivants font leur chorégraphie.

En ce qui concerne la mise en place du film, je n'ai pas trouvé que le début soit chiant, il est vrai que ca n'avance pas trop niveau intrigue, mais, c'est bien "comblé" va-t'on dire, car dés le début il y a une mise en condition, des rebondissements. Puis, tout ce qui se passe au début est essentiel pour comprendre le dénouement de l'histoire, car à la fin il y a une sorte de récapitulatif de ce qu'a vécu Rose lorsqu'elle est arrivée à Silent Hill.
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyJeu 4 Mai - 1:55

pour répondre a la question de krusty

le film reprend un mix des élément du 1 et du 2

en fait harry étant un personnage assez faible il aura été remplacé (avec l'accord du créateur du jeu) par une femme, rose

d'ou un certain désapointement pour ceux qui ont joué a la version psx

ensuite il y a deux trois changement par ci par la

mais ce qui est sur c'est que les créatures sont fidèlement reproduite (dans leurs comportement aussi)

d'autant plus que comme di ci dessus le réalisateur a travaillé conjointement avec le créateur du jeu vidéo, ce qui donne un rendu très proche visuellement et scenaristiquement.

maintenant il est sur que le fim ne reprend pas trait pour trait le scenario de l'une ou l'autre des 4 episode de silent hill mais le scenario de ce premier aurait très bien pu etre celui d'un des jeux vidéo
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyJeu 4 Mai - 2:01

pour ceux que ca interesse voici l'histoire du jeu vidéo résumé par un fan

Tout d'abord, un peu d'histoire...

Pour comprendre parfaitement Silent Hill, il faut lire les documents que tu trouves, c'est indispensable pour tout comprendre, bourré d'indices....

Tout d'abord, selon une rumeur, les Indiens avaient exploité cette ville en l'appelant "la colline des esprits"... prenant conscience de l'incroyable spiritualité qui entourait ce lieu, ces Indiens construirent un temple et vénèrent ce lieu où l'esprit des morts réapparaît comme par magie... ils créent une secte occulte extrêmiste en invoquant divers dieux...

Puis viens le temps de la colonisation, les Américains dégagent les Indiens et construisent la ville de Silent Hill sans chercher à comprendre ce que les Indiens vénéraient... or une petite poignée d'Amerloques écoutèrent ces fameux Indiens et comprirent l'importance de ce lieu... reste donc une petite poignée de cette secte occulte...

Complètement barjots, extrêmistes, il décidèrent de créer leur propre dieu à l'aide d'un talisman indien sacré : le sceau de Metatron, que tu trouves dans Silent Hill 1 si je ne m'abuse... Les esprits indiens de l'ancienne ville, mécontents, continuèrent à hanter les habitants... ainsi dans tous les Silent Hill, tu trouves des coupures de journaux expliquant des disparitions ou meurtres inexpliqués... par exemple, dans Silent Hill 2, tu apprends qu'un bateau de touristes disparut en 1918 sur le lac Toluca, jamais on ne les retrouva... ou bien l'assassinat de deux enfants, Billy et Myriam LOCANE par Walter SULLIVAN, un homme simple qui avoua "avoir été contrôlé par un diable"... personne ne l'écouta et il se suicida dans sa cellule en se tranchant la gorge avec une cuillière à soupe qu'il avait taillée... enfin c'est ce qui est écrit, car il revient dans Silent Hill 4... mais pour le 4 je ne peux pas te dire grand chose, je ne l'ai pas encore acheté, ma PS2 est cassée... Sad Voici maintenant l'histoire des 3 Silent Hill...

Avant toute chose : Silent Hill 3 est la suite du 1, et le 4 la suite du 2... Cappice ?

SILENT HILL 1

Ca se passe 24 ans avant Silent Hill 3... Un membre de la secte occulte, antiquaire de 46 ans, Dahlia GILLESPIE, femme énigmatique, réussit à créer un dieu dans le corps d'une fillette Alessa... le jour où elle accoucherait, cet enfant serait un dieu doté de pouvoirs maléfiques, Samaël...

Malheureusement, avec le temps, Alessa refusa d'utiliser ses pouvoirs sous le contrôle de Dahlia, sa mère adoptive, elle refuse de faire du mal... conscient de son inutilité, Dahlia enferme Alessa, 7 ans, dans sa chambre et y met le feu... la maison est ravagée... c'est un des mystères de Silent Hill 1, réponse dans le 3...

Vivante mais gravement brûlée, elle est conduite à l'hôpital Alchemilla, dirigé par le nerveux docteur Michael KAUFMANN, 50 ans, qui charge une jeune infirmière droguée, Lisa GARLAND, 24 ans, de veiller sur elle personnellement, en échange elle recevrait sa dose de drogue habituelle... pour ne pas éveiller les soupçons, Alessa est internée au sous-sol... comateuse, elle nourrit le dieu malgré elle, par sa haine et sa vengeance envers sa mère, Dahlia, qui a voulu la tuer... ses cauchemars bousculent Silent Hill, ce sont les fameuses versions altérées de Silent Hill, où tout n'est que rouille et sang...

Alessa ayant perdu la moitié de son pouvoir, elle décida d'utiliser le peu qu'il lui restait pour créer un double d'elle avec l'autre moitié du pouvoir... c'est Cheryl... adopté par Harry MASON, 32 ans, écrivain, et sa femme malade, atteinte du cancer... ils adoptent Cheryl, mais la femme d'Harry meurt peu après...

Le temps passe... Alessa a 14 ans, Cheryl en a 7... Alessa utilise son pouvoir pour "appeler" son autre moitié, Cheryl...

Inconsciemment attirée par Silent Hill, elle saoûle son père adoptif, Harry, pour aller y passer les vacances... là débute le jeu Silent Hill...

Sur la route de Silent Hill, Alessa utilise son pouvoir et fait une apparition fantômatique devant la Jeep d'Harry... qui en voulant l'éviter se plante dans les barrières de sécurité...

A son réveil, Harry est seul... Cheryl a disparu... il la poursuit, mais la perd bien vite... pris d'un malaise, il s'évanouit et se réveille dans un café proche.... aux côtés d'une policière de 28 ans, Cybil BENNETT...

Décidant de retrouver sa fille, Harry part à sa recherche, aidée par Cybil... il rencontre Dahlia, mystérieuse, qui se "sert" d'Harry pour retrouver Cheryl, et ainsi combiner les deux pouvoirs de Cheryl et d'Alessa pour créer ce fameux dieu, Samaël...

Malin, Harry découvre vite les côtés sombres de différents personnages : le trafic de drogue de Kaufmann, le sous-sol avec Lisa, quand il découvre une cassette vidéo montrant Lisa face à Alessa au sous-sol...

Il réussit cependant à engager une discussion avec Alessa, qui lui avoue tout : le pouvoir, Cheryl, le dieu, etc...

Malheureusement, Dahlia réussit à choper Alessa et Cheryl pour en créer le dieu, Samaël... mais, ironie du sort, Kaufmann, sentant bien que Dahlia lui fausse compagnie, se sert de ce qu'il sait en faisant caboter son plan : Samaël est né, mais grâce à Kaufmann, sous sa forme la plus faible, donc non dévastateur... ce qui permet à Harry d'abattre Samaël... Dahlia est brûlée vive par la vengeance de Samaël, c'est à dire 50% Alessa en fait... Lors de la mort de Samaël, Alessa réapparaît quelques instants et offre à Harry un bébé, réincarnation de Cheryl, malheureusement toujours porteuse du dieu... mais rien de grave n'arriverait si le bébé était en de bonnes mains... Alessa meurt...

SILENT HILL 2

Aucun rapport avec le 1... plus psychologique... la suite dans le 4, que je n'ai pas encore... Sad

Ca se passe 17 ans avant Silent Hill 3, 7 ans après Silent Hill 1... Nous sommes dans les années 70...

Silent Hill est une ville qui attire ceux qui ont commis une faute grave dans cette ville, selon leur courage ou leurs choix, ils seraient pardonnés ou punis par le dieu Samaël... C'est une légende bien sûr, Samaël meurt dans le 1...

James SUNDERLAND est inconsolable quand sa femme Mary meurt du cancer, 3 ans avant SH2... Mais un jour, il reçoit une lettre de Mary, qui lui demande de venir la retrouver à Silent Hill... James est abasourdi : sa femme est morte !!! Mais pris d'une lueur d'espoir, il décide quand même d'éclaircir ce mystère...

Il rencontrera ainsi plusieurs personnages venus corriger leurs "fautes" :

Angela OROSCO, censée être adolescente mais paraissant la quarantaine... elle fut violée par son père, puis s'enfuit de chez elle... elle retrourne à Silent Hill pour tenter de retrouver sa mère ou son frère... convaincue qu'elle ne sera jamais heureuse, elle erre sans but dans Silent Hill...

Eddie DOMBROWSKI, un ado obèse martyrisé par ses camarades, qui devient fou petit à petit à cause de l'ambiance morbide de Silent Hill, où tu suivras son "évolution mentale" si je puis dire... qui se soldera par sa mort, abattu par James... qu'il avait attaqué.

Laura, gamine de 8 ans, qui semble connaître bien plus de choses sur Mary qu'elle ne le laisse penser... tu apprendras par la suite qu'elle fut dans la même chambre que Mary à l'hôpital... Très proche de Mary, elle la soutint jusqu'à la mort de cette dernière...

et... Maria... qui ressemble comme deux gouttes d'eau à... Mary !!! A quelques différences près : Mary était brune aux cheveux longs attachés, Maria s'est fait teindre les cheveux en blonds courts, avec des mèches rouges... Mary était habillé classique, Maria est habillé sexy : mini jupe et décolletée...

C'est l'épreuve que doit subir sans le savoir James... s'il est vraiment amoureux et borné à l'idée de retrouver Mary, elle revivra et pourront enfin revivre heureux... si il n'y pense plus et tombe amoureux de Maria, alors, son passé ressurgira et ce sera un homme détruit... en effet, Mary lui a demandé d'abréger ses souffrances en l'étouffant avec son oreiller...

Tout au long du jeu, James récolte nombre d'indices sur un meurtre récent à Silent Hill, celui dont je t'ai parlé, avec Walter SULLIVAN, grand méchant du 4... Smile

SILENT HILL 3

Suite du 1 !!!

Le bébé recueilli par Harry à la fin du 1 a grandi... c'est Heather... elle a 17 ans...

Elle et son père, Harry, ont déménagé... ils vivent heureux jusqu'à ce que...

La secte occulte se recompose pour réinvoquer ce foutu Samaël de SH1... La secte est dirigé par un psychologue, Vincent, personnage énigmatique de SH3... dans sa secte, il y a une femme extrêmiste qui effraye bien du monde, même la secte : ClaudIa WOLF... qui eut l'idée avec son père schizophrène, Leonard, de recréer Samaël... pour plus de sureté, Claudia fit interner son père qui croupit au sous-sol de l'hôpital Brookhaven, tel Alessa de SH1...

Claudia engagea un détective, Douglas CARTWRIGHT pour retrouver Heather et recréer le dieu...

Lorsque Vincent et Douglas apprirent qu'ils se sont fait roulés par Claudia, ils décidèrent de contrer les plans de Claudia... Douglas aide Heather comme il peut, Vincent se sert d'Heather pour arrêter Claudia, mais en réalité il veut le pouvoir pour lui seul... manque de bol, Claudia le poignardera...

Claudia n'arrête pas d'invoquer le dieu, provoquant les malaises successifs d'Heather tout au long du jeu, les fameuses versions altérées dont je t'ai parlé... d'ailleurs, tout au long des versions altérées, divers objets "envoyés" par le dieu Samaël tente de rappeler à Heather qui elle était vraiment, c'est à dire la p'tite Cheryl du 1...

Finalement, Claudia est arrêtée par Heather... qui est malheureusement consciente de son pouvoir : un jour ou l'autre elle mettra bas à un enfant-dieu, qui, lui-même aura un enfant-dieu, et ainsi de suite... sa seule solution serait de mourir pour tout arrêter... mais elle choisit de survivre... peut-être une suite pour un futur SH5 ???

:p

Voilà !!! En espérant que tu ais compris la trame complexe de Silent Hill...
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyJeu 4 Mai - 2:07

bon je lis pas ton dernier post vu que j' ai pas encore fait tout les silent hill et que je veu pas me gacher la surprise silent
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyJeu 4 Mai - 11:10

c'est assez complèxe en effet ... je le relirai pour bien suivre Smile

deux trois petites questions encore : SH1 est bien la version PS1 à laquelle on avait joué ?

Les autres tournent sur quelle bécane ?

Y a t-il eu des remake (à la RE) sur d'autres plateforme et si oui sont elles fidèles ?

ouf ...
voila !
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyJeu 4 Mai - 12:07

Merci Maitre Zan pour ce complément d'information, ca aide à bien comprendre certains détails du film, c'est sympa.
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyJeu 4 Mai - 13:44

h ben ! qe d istoire !
en tou cas c bien simpa comme truk .
le sénario se répete un peu... mai apré tou : l histoire se répète inlassablemen .
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyVen 5 Mai - 2:23

pour ma part je lancerais bien un petit débat autour de "Dancer in the Dark"

un film de Lars von Trier sortie dans la fin des années 90 et cloturant la trilogie débuté avec les idiot (ou braking the waves je ne sais jamais)

je laisse a ceux qui l'auront déja vu attaqué le débat et je donne un lien ED2K aux autre ed2k://|file|Dancer.in.the.dark.FRENCH.DVDRip.-nounel-.AVI|727846912|96F701C7ADED598F2FAB55E05D887123|/

par la suite je vous ferais part de mes impressions au sujet de ce film

à bientot sur ce topic
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyVen 5 Mai - 2:31

Bonsoir a tous. une serie bien comme il faut est en train de faire un tabat sur MTV depuis 1 an et qqs. c'est DRAWN TOGETHER (réuni). C'est une dessin animé basé sur la real TV ou on a mis dans une maison 8 personnages de dessin animé pas connue du public et ils sont filmés par 1,000,000 CAMERAS (1 million c'est pas moi qui le dit) .Il n'y a presque aucune censure sur le fond et la forme. c'est bien trash. Le vocabulaire est outrancier et malgré tout bien fin. Il ne decrit pas la vie politique americaine comme dans South Park mais la vie de tous les jours des americains les plus skizos. c'est un vrai regale. par contre je ne sais si une traduction existe deja en francais. mais une traduction serait predre vraiment tout le contenue. Donc le hic est qu'un bon anglais est obligatoire et un vocabulaire bien fleurie.
Je vous recommande d'essayer vivement.

L'extrait qui suit n'est pas le plus marrant mais donne un avant gout de ce qui peut se dire. La version comedie musicale est exceptionnel a ces 30 secondes de footage. affraid

http://www.heavy.com/viral/drawnTogether/

bonsoir dans les chaumieres

afro
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyVen 5 Mai - 13:04

Ca m'a l'air etrange, on dirait une critique dejantée (ou serie "cartoon network" dont je suis fan), plusieurs styles d'animation sont représentés par différents personnages, le tout fait une espece de pate bizarre ou les traits fins des années 60 ce cognent a un double contour agressif plus moderne, le lien principal est cette gamme de couleur, un camaieu bien vivant qui donne tout la peche a cette anim. (ca m'a l'air fun, a suivre...)
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyVen 5 Mai - 13:08

Je me permet de poster un film d'un pote de l'ecole, ce blaireau a failli abandonné, c'est réalisé avec "combustion" et ce salaud a emporté une dizaine de prix et c'est fait embauché par la suite...
PS: c'est pour vous les hardos Very Happy
http://www.lisaa.com/paris/anim3d/video/video2004.php
lancez Poules Quies.
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyMar 9 Mai - 14:48

allez, aujourd'hui c'est moi qui vous parle d'un film parce que (je ne sais pas pouquoi) j'ai la musique dans la tête.

Le film s'apelle "Heureux qui comme Ulysse", c'est un film français avec principalement pour acteur Fernandel.

C'est le dernier film qu'ai fait (à ma connaissance) grand personnage.
Il incarne ici Antonin, un méridional amoureux des chevaux, et tout particulièrement de Ulysse. Ce dernier, après avoir eu un acciddent lors d'une course, n'est plus qu'un cheval de traie, bon pour l'arène selon son propriétaire, le patron d'Antonin.

Ne pouvant se résoudre à envoyer celui qu'il considère comme "son fils" à une mort certaine dans les arènes d'Arles, Antonin décide de s'enfuir avec son cheval. Il va tout tenter pour lui rendre la liberté, dans les régions sauvages des rives de l'étang du vacares.

Un film très émouvant, plein de sincérité et d'une rare intensité humaine. Toute la magnifissance du jeu d'acteur de Fernandel est concentrée dans ce film, plein de tendresse, qui ne laisse pas insensible.

En toile de fond, une provence estivale, le son de la guitare de Brassens, et ces paroles qui résonnent : "qu'elle est belle, la liberté, la liberté".


Krusty.
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyJeu 11 Mai - 13:14

Quel film mytique!

une petite rectification cependant, "heureux qui comme Ulysse" est avant tout un sonnet de l'humaniste Joachim Du Bellay donc, XVIème siécle, que l'on retrouve dans son ouvrage "Les Regrets" (c'est trés trés chiant comme truc je ne vous en conseille pas la lecture hormis si vous êtes insomniaque!)

Bref, je vous pose tout de même la première strophe de ce poeme ici (la fleme d'écrire le reste mais si vous le voulez, ce que je doute fort Confused ):


Heureux qui comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme celui-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d'usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge!



A présent, passons à autre chose. Jug a lancé un débat autour de Dancer in the Dark, qui a été ignoré de tous. Donc, je relance vivement le sujet, pur ceux qui l'ont vu. Pour ma part, je ne l'ai pas encore visionné, j'en connais le principe, j'ai vu le début qui est assez "vertigineux". Comme j'ai dit à Jug, je le verrais le jour ou je ne viendrais pas chez lui maquillée comme ca je pourrais pleurer sans retenue ah ah ah

Pour le lien de la "télé-animée réalitée", vu ce que tu m'en as dit à propos de la vulgarité et ces choses là, je ne suis pas motivée à y aller Confused c'est pas mon truc, puis, je ne comprend RIEN en anglais Embarassed


Au fait, coucou mon pti Gasca, ca fait un petit moment que l'on ne s'est pas parlé, toi non plus je n'ai pas encore eu l'occas de visiter ton lien, j'irais à l'occas'.
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyVen 12 Mai - 0:12

Dancer in the dark!

On pourrait traduire ça par "un danceur dans l'obscurité", il est certain que si l'on s'en tenait uniquement à ça, on éprouverait très certainement une vive apréhension à regarder ce film.

Mais c'est la ou le bas blesse, "Dancer in the dark" n'est pas à proprement parler un "film", ici on serait plutôt tenté d'employer le terme d'ovni.

En effet on se trouve en présence d'une de ces oeuvres qui ne laissent pas le choix de la neutralité à ceux qui les contemplent, on aime ou on aime pas, mais quoi qu'il advienne, on en ressort pas indemne.

Pour résumer et sans trop en dire sur l'histoire, la trame principale est simplissime.
Nous sommes dans un bled de l'amérique profonde des années 60, Selma (Björk) est une immigrée tchèque au lourd passé, qui, travaillant sans relache afin de mettre suffisamment d'argent de coté pour réaliser ce que son "coeur lui dit", repoussera jusqu'au dénouement final les limites de ce que le corps et l'esprit peuvent supporter.
Autant vous prévenir tout de suite, l'histoire est triste, la trame réaliste, et le final bouleversant.
Car "Dancer in the dark", par sa spécificité, subit le spécisme inconsient du spectateur, et l'on ne peut echapper à cette règle qui fait que, tour à tour, on aura l'impression d'avoir affaire à un mélo poussif, à un film de propagande anti américaniste, ou encore au prétexte à un pamphlet contre la peine capitale.
Si vous voulez un conseil, afin de savourer ce "film" pleinement, il vous faut savoir deux ou trois choses.

D'abord Lars von Trier n'est pas anti américaniste, au contraire.


lars von trier a écrit:
"L'Amérique est un sujet qui m'intéresse, car les Etats-Unis occupent une très grande place dans ma vie, comme dans celle de chacun d'entre nous. Je considère que l'Amérique occupe environ 60% de mon esprit. Je suis de fait concerné par tout ce qui touche ce pays, et pourtant je ne peux pas voter là-bas si je veux changer les choses. C'est pour cette raison que je fais des films sur l'Amérique."

Ensuite le choix de la comédie musicale "choix pouvant parraitre curieux au départ" est du entre autre au soucis de créer un écart aussi grand que possible entre, d'une part cette réalité qui en écrasant l'Homme sous le poids de l'irreversiblité de sa destiné, le rend presque repoussant alors qu'il est un véridique reflet de nous même, d'autre part ce rève qui nous pousse à briser ces chaines que l'on croyaient indestructible en ravivant la flamme sécatrice de l'espoir dans notre coeur.
Le réalisateur pousse jusqu'au vice de filmer les scènes du réel caméra à l'épaule, et celle du rève à l'aide d'une centaine de caméras dont il retouchera numériquement toutes les prises.

Enfin la force du récit repose vraiment sur l'existentialisme des personnages. Si on y refléchie vraiment, ayant regard du scénario, on aurait pu faire beaucoup plus triste, tant soit que le but de von Trier soit celui de nous faire pleurer. Mais on n'est pas en présence de ces habituels méchants abrutits et gentils rébarbatifs que l'on voit habituellement dans un film, ici les acteurs incarnent de vrais personnages, des hommes et des femmes ayant un vécu et agissant selon ce dernier, des gens qui, cantonné au role que leur a attribué la société, entraineront (parfois malgré eux) la perte de cette réveuse qu'est Selma. Il n'y a au final ni gentil ni méchant, uniquement des réveurs ... et des robots.

Pour finir je dirai que ce film aura été jusqu'a modifier dans une certaine part ma façon de percevoir la réalité.
Je ne di pas qu'il en fera autant pour vous, mais je serais prèt à parier que si vous suivez mes conseils en ne vous en tenant pas à certaines apparences trompeuses (presque volontairement dilletantiste), vous ne manquerez pas, vous aussi, d'être marqués dans une profondeur que peu de films auront su atteindre en vous jusqu'à présent.
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyVen 12 Mai - 13:19

*sourire... rares moments où Jug fait part de ses sentiments les plus profonds...

Bon, quand est-ce qu'on le regarde ensemble?! Very Happy
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyVen 12 Mai - 13:49

c'est a dire que comme beaucoup j'ai tendance à défendre la théorie que seul celui qui se pose la question ... peut en comprendre la répose ; à la différence de beaucoup d'oeuvres ou le fond, etroitement lié à la forme, est éclaté à la figure de celui qui l'observe, ce film détourne vraiment le spectateur du véritable sujet dont il est question ; ainsi seul celui qui, sufisamment attentif, se posera les bonnes questions pourra comprendre la réponse apporté par Dancer in the dark.

ce n'est pas vraiment un sentiment profond, c'est juste le désir de prendre la défense de quelque chose que l'on aurait tendance à comprendre de travers.
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krusty
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques EmptyVen 12 Mai - 14:12

je revfiens rapidement sur "heureux qui comme Ulysse" :

Brassens a bel ét bien écris une chanson sur ce thème : seul le premier vers est identique à celui du poème initial.

Voici les paroles de la chanson de Brassens :

Citation :
Heureux qui comme Ulysse
A fait un beau voyage
Heureux qui comme Ulysse
A vu cent paysages
Et puis a retrouvé après
Maintes traversées
Le pays des vertes allées

Par un petit matin d'été
Quand le soleil vous chante au cœur
Qu'elle est belle la liberté
La liberté

Quand on est mieux ici qu'ailleurs
Quand un ami fait le bonheur
Qu'elle est belle la liberté
La liberté

Avec le soleil et le vent
Avec la pluie et le beau temps
On vivait bien contents
Mon cheval, ma Provence et moi
Mon cheval, ma Provence et moi

Heureux qui comme Ulysse
A fait un beau voyage
Heureux qui comme Ulysse
A vu cent paysages
Et puis a retrouvé après
Maintes traversées
Le pays des vertes allées

Par un joli matin d'été
Quand le soleil vous chante au cœur
Qu'elle est belle la liberté
La liberté

Quand c'en est fini des malheurs
Quand un ami sèche vos pleurs
Qu'elle est belle la liberté
La liberté

Battus de soleil et de vent
Perdus au milieu des étangs
On vivra bien contents
Mon cheval, ma Camargue et moi
Mon cheval, ma Camargue et moi
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MessageSujet: Re: cinéma et critiques   cinéma et critiques Empty

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